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Attache moi!
3 juillet 2009

Caroline et Antoine

J'ai réécrit une petite histoire en une partie. Elle est plus légere. Elle manque peut etre un peu d'originalité mais au moins je pense qu'elle colle davantage à l'esprit du blog.

Antoine et Caroline ont 15 ans. Antoine habite une petite maison à la campagne avec ses parents. Ses voisins sont des parisiens qui viennent dans leurs mason de campagne chaque été depuis de nombreuse années. Ainsi, Caroline et Antoine ont souvent été camarade de jeux. L’heure des retrouvailles arrivent. Les parisiens arrivent et decharge les valises. Antoine est à vélo et les saluent de loin. Caroline le voit et lui fait un sourire. La mère de Caroline fait signe antoine de venir. Ils s’approchent donc, embrasse Les parents de Caroline qu’il connait bien puis La jeune fille.
_Et bien, tu as encore bien poussé mon garçon, dit M. lesier.
_C’est vrai,  rajoute la mère. Et puis, il est de plus en plus mignon.
Antoine rougit tendis que Caroline rigole.
Puis la mère reprend : Allons, je ne veu pas te gener. Par contre Caroline iras te retrouver après le diner, il faut qu’elle range ses affaires.
_trés bien, merci madame
_de rien, a bientôt.
Antoine remonte sur son vélo traverse les quelque metres qui separe la maison des Lisiers de la sienne et rentre chez lui diner.

1h plus tard, Caroline vient frapper à la porte des parents d’antoine.
_Bonjour jeune fille,dit la mère d’antoine. Alors heureuse de revenir à la campagne ?
_Oh oui, répond Caroline, et puis à Paris je m’ennuie très vite en vacance.
_je comprend, par contre Antoine est dans la grange, il avait encore des travaux à faire dedans, mais je pense qu’il aura finit dans la soirée. Tu veux que je lui demande de venir te chercher quand il aura finit ?
_Non merci madame, je vais allez lui tenir compagnie. Ca ne doit pas à être rigolo de travailler à cet heure la.
_c’est vrai, mais Antoine est courageu et il a promis à son père de ranger cette grange.
_Vraiment, j’ignorai qu’elle été à vous.
_Elle n’est à nous que depuis peu. Mais il y a encore beaucoup à faire pour la rendre habitable.
_Je vois, et bien bonne soirée Madame.
_Merci ma chérie, amusez vous bien.

Caroline se dirige donc vers la grange. Elle ouvre la porte. Dedans il y a beaucoup de paille, des mangeoire en bois. Il y a aussi des poteau qui soutienne le tout. La pièce est éclairé par la lumiere qui transperce les fenetres sales. Elle apercoit Antoine qui est afferé à regrouper du foin. Elle lui lance : alors ca travaille dur Charles Ingalls ?dit elle avec un grand sourire.
Antoine se retourne et souri
_Comment ca va la parigo, pas trop effrayé par toute cette poussière ?
_Non, je trouve que c’est sympa comme endroit
_Ouep, mais il faut encore que je regroupe tout le foin et que je le mette en bas,il y a du boulot.
_Je peu t’aider si tu veu.
_Tu es sur ? c’est fatiguant tu sais.
_hé, attention !je suis pas douillette moi. Allez, je veux jouer à la paysanne.
_Comme tu veu Marie Ingalls. Tiens voila ta fourche.

_Ok attend 2 seceonde, dit Caroline, j’arrive.
La jeune fille sors alors un bandana de sa poche et se recouvre sa chevelure avec.
_Ca fait couleur locale non ? dit elle.
_Allez c’est pas un défilé de mode ici, alors au boulot la fermière
Et les deux jeunes gens se mettent au travail. Dans la bonne humeure De temps en temps, Antoine observe Caroline. Elle n’est vraiment pas habile avec sa fourche. Mais elle est jolie comme ca. Une robe ivoire d’été qui descend un peu plus bas que ses genoux et son bandana bleu ciel lui donne un coté un peu plus nature que d’habitude.
Les deux jeunes gens ne disent plus rien. Au bout de 10mn, Caroline s’arrete et laisse tombé  sa fourche.
_Je fais une pause, en plus j’ai des ampoules pleins les mains.
_J’en etais sur, toutes des feignantes ces parisiennes.
_Pas du tout,répondit Caroline. D’ailleurs si tu va me chercher des gants je continu.
_Trés bien, j’y vais.
Antoine sors de la grange, va chercher des gants dans l’établi puis revien dans la grange mais en ouvrant la porte il ne voit personne. Inquiet, il appelle : Caroline ?
Soudain il ressoit un enorme baquet d’eau sur sa tête. Il leve la tête et apercoit caroline hilare dans la mezanine au dessus de lui.
_Et ca t’amuse lance t’il ? attend voir si je t’attrape. Et Antoine entreprend de monter l’escalier pour le rejoindre. Mais Caroline lui balance plusieurs brassés de foin à la figure.
_tu m’attrapera espèce de nul !
_Mais arrête !tu es entrain de tout salir.
Antoine finis par remonter. Il course alors Caroline dans l’étable puis finit par l’attraper et la plaque dans le foin. Les deux jeunes gens rient aux éclats. Puis Antoine redevient serieu. Quand même ca crain, je devais avoir fini ce soir et elle est encore plus crade maintenant. Je me serai bien passé de ton aide…
_Je suis désolé mais je m’ennuie. C’est mon premier jour de vacances et j’ai envie de m’amuser.
_Je m’en doute mais à cause de toin j’ai encore plus de travail à faire maintenant. Du coup on aura surement pas le temps de faire grand-chose ce soir.
_Ba si, t’as cas aller plus vite !
_C’est pas facile avec une enquiquineuse comme toi dans les pattes.
_Je vois, dit Caroline en ayant l’air de réfléchir. Alors peut etre que cela peut nous aider. Elle désigna alors une corde qui était suspendu contre le mur.
_Une corde ?Tu veu que je t’attache ?Demanda Antoine ?
_Pourquoi pas, comme ca je me tiendrai tranquille et tu pouras finir ton travail.
_D’accord dis Antoine. Il alla chercher la corde et revint prés de Caroline, sui ne semblait nullement inquiète.
_Alors, ou est ce que tu as décidé de m’attacher ?
_Au poteau centrale, comme ca tu ne pouras vraiment plus venir m’embeter.
_D’accord,et puis ca feras comme les indiennes…

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Caroline se placa donc  dos au poteau et mis les mains derrière en entourant le poteau qui n’était pas très large. Antoine s’avanca avec la corde et commenca à entourer Caroline avec la corde.
Elle l’interompit en disant : « par contre, il vaut mieu que je sois bien attachée, sinon je risque de remetre le bordel.
_Ne t’en fais pas. Je te promet que je ne laisserai pas mon indienne s’échapper.
Et Antoine commenca à ligoter Caroline au poteau. Il avait commencé par les mains. Puis avait fait passer la corde sur le buste de la jeune fille, avant de lui attaché ses jambes et ses chevilles.
Une fois que ce fut fini, il demanda « alors, tu pense que tu vas réussir à te liberer ?
_Non je ne crois pas, j’avoue que tu m’a bien ligotée, dit Caroline en testant ses liens.
_Ok, ben je me remet au travail alors.
_Attend, dit elle. Je crois qu’il vaudrait mieu aussi que tu me baillone.
Antoine la regarda,un peu mal à l’aise.
_Ben oui, dit elle, sinon je risque d’appeler à l’aide. Il y eu 1 silence puis il rajoutta. D’ailleurs comme ca, ca feras plus vrai
_D’accord dit Antoine.
Il defit alors le bandana que Caroline s’était mis dans les cheveux, puis il lui passer entre les levres et lui noua derrière la nuque.
_Ca va demanda t’il ?
_hhhmmpff.Répondit Caroline en faisant oui de la tête.

bild_0035

Antoine se remis donc au travail. Mais il était tres troublé par ce qui venait de se passé.de temps en temps, il observait Caroline. Parfois elle gigotait pour tenter de se delivrer, et elle poussait de leger gémissement à travers son baillon. Puis elle restait immobile. Ligotée à son poteau, elle attendait sagement que son prince charmant vienne la secourir. Au bout de 20 min, Antoine eu terminé. Il alla alors voir Caroline et baissa son baillon. « Voila, c’est bon pour le rez de chaussé. »dit il
_chouette, ca veut dire qu’on va pouvoir faire autre chose.
_Non pas encore, il me reste la bas à faire. Mais c’est plus petit et ca va allez vite.
_Ok vas y mais par contre tu ne me laisse pas toute seule ici.
_Je te détache alors ?
_Du poteau au moins, après tu pouras toujours me ratacher en bas.
_Trés bien ,je t’emmene avec moi.
Antoine détacha alors Caroline du poteau. Puis il lui religota les mains, puis il fit passer la corde autour des epaules de Caroline.
_Et bien , dit elle, tu prend beaucoup de precaution juste pour me faire un escalier.
_ c’est parce qu’il n’ya pas de poteau en bas, alors autant que je te ligote bien immédiatement.
Antoine serra bien mais laissa 3 metre de corde disponible. Puis il se remis face à Caroline et pris la bandana qui était encore autour du cou de Caroline. Il dit alors « ca aussi c’est par précaution »avec un sourire.
Caroline le regarda, souri, puis ouvri la bouche qu’antoine puisse la bailloner.
Une fois que ce fut fait, Antoine mena Caroline dans le bas de la grange. Il n’y avait pas de lumière, seulement celle de la lanterne d’Antoine. Mais comme la pièce était petite l ne faisait pas sombre. Antoine fit s’allonger Caroline sur le dos. Puis il ligota ses cuisses et ses cheville, et relia les chevilles au poignets . Puis Caroline fit : »hhhhmmpfff !!hmmppffff !!! » en secouant la tête. Antoine defis alors son baillon. Caroline dit alors :
_Je suis bien attachée, par contre le baillon il ne sers vraiment à rien. Tu devrais allez en prendre un autre.
_Je ne vais pas retourner à la maison pour ca dit il .En plus je n’en ai même pas pour 5 minutes à tout ranger en bas.
_Fait le ou j’appelle au secours
_Chiche, dit Antoine
_d’accord, AU SEC… !HHHHMMMPHHH ?!!
Caroline avait commencait à hurler mais Antoine lui avait mis la main devant sa couche pour la faire taire.
_Ma parole, tu es vraiment chiante. Mais ‘jai une idée. Antoine enleva son T shirt.
_Non pas avec ca c’est degu’…
Antoine avait donc bailloner Caroline avec son T shirt qui était effectivement plus epais que le bandana. Caroline essayait de l’oter de sa bouche mais en vain. Elle bougeait autant qu’elle le pouvait mais semblai amuser par la situation. Antoine rigolait aussi. Puis il finit par s’attaquer au bottes de paille tandis que Caroline restait à l’observer. Elle se sentait bien ligotée et baillonée sur un lit de foin.  la lanterne qui se trouvait prés d’elle lui apportait une douce chaleur.elle se sentait comme les heroines des series télévisés. Mais Son geolier était son ami. D’ailleurs, le fait de le voir travailler torse nu ne lui deplaisait pas.

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Cinq minutes plus, Antoine revin prés d’elle. Il lui dit :
_Ca y est, j’ai fini.
toujours baillonée, caroline regarda antoine dans les yeux mais ne dit rien.
Les deux jeunes gens se regardereent quelques instant sans rien dire, puis Antoine posa sa main sur les hanches de Caroline. Celle-ci ne bougea pas. Antoine passa alors sa main derrière la tête  de Caroline et déposa un baiser sur son front. Caroline se laissa faire, se contentant de fermer les yeux durant cette instant. Antoine tenait toujours Caroline dans ses bras, elle le regardait en permanence dans les yeux. Doucement il defis le baillon de Caroline, approcha ses levres…
Soudain ils entendirent :
_Les enfants, ou etes vous ?!!

Les deux ado se regardèrent paniqués, et Antoine commenca à détacher à toute vitesse Caroline. Ce fut assez rapide, puis les deux remontèrent en essayant d’avoir l’air de rien.
_et bien ca été long pour ranger cette Grange dit Mme Lisier
_Mais laisse les Chantal, ils sont jeunes dit le père d’Antoine.

Les deux ado se dirent au revoir et rentrèrent chez eux, chacun en ayant le cœur battant la chamade

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Commentaires
B
Merci MusicMan.Moi aussi evidement. Mais on ne sais jamais, c'est le genre d'experience qu'il faut aussi savoir provoquer...
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M
Belle histoire bien écrite, on s'imagine bien la scène et le décor, ainsi que les aventures de ces 2 jeunes. Personnellement, j'aimerais bien vivre ce genre d'expérience(celle du ligotage), ne serait-ce qu'une fois. Ce serait génial.
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B
Et oui, quand je pense a ceux qui ont pus vivre des choses comparable, je me dis qu'il y a des veinard...
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C
cette histoire est certes tres classique mais tellement sympatique a lire, on souhaiterai rencontrer plus de filles comme caroline!
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B
merci pour ton commentaire Cris. Pour ma prt j'ai aussi pris beaucoup de plaisir a écrire cette petite histoire. Pour information la suite (et fin) de soirée entre fille arrive demain.
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